62èm jour (Lundi 6
janvier) :
Matinée passée à essayer
de régler un problème de netteté des images sur mon blog. Donc pas du tout
avancé sur le blog comme je l’espérais. Pas grave j’ai tout mon temps. Sur le
coup de midi je m’en vais explorer la partie nord de la plage. Le ciel est
toujours très couvert et ce n’est pas aujourd’hui que je verrai le soleil.
Au bout d’une demi heure, j’atteins l’extrémité de la plage et constate qu’elle est moins jolie que je l’avais pensé en arrivant. Du moins comparé aux plus belles plages de la côte ouest. Par contre il n’y a quasiment personne. Je ramasse de jolis coquillages dont un en particulier qu’il me sera difficile de ramener intact. De retour à la guest house je reprends le blog et me vois obliger de reprendre tous mes transferts de photos de ces dernier jours.
Le crachin de ce matin
se transforme en de très fortes pluies toute l’après midi.
Dîné à la guest comme
hier. Correct sans plus.
63èm jour (Mardi 7
janvier) :
Toujours pas de soleil
mais du vent et des prévisions météo peu engageantes. Pas de soleil de prévu
avant vendredi. Apparemment d’après le site internet c’est général à l’ensemble
du pays (mieux mais quand même nuageux sur la côte ouest).
8h15 : Je profite d’une coupure de courant pour m’en aller faire une balade du côté sud cette fois. C’est la partie habitée par les pêcheurs et leurs maisons se suivent sur plusieurs km jusqu’au bout de la plage. Plage qui devient de plus en plus sale avec des habitations de plus en plus sinistres au fur et à mesure qu’on avance. Il faut dire que le tsunami n’a pas épargné cette côte et les traces y sont encore bien visibles.
Les chiens (en grand nombre) sont agressifs sur cette partie de la plage et je m'arme d'un bâton pour les tenir à distance. Quant aux locaux, ils se contentent de chercher à me taxer des cigarettes car ici (comme à Jaffna), les hommes fument.
A 10h, arrivé tout au bout de la plage, je rebrousse chemin en relongeant la mer, n’ayant pas emporté d’argent pour prendre le bus. Ce qui me permet de prendre encore quelques photos intéressantes d’autant plus que le soleil tente une percée à travers les nuages.
Le cricket est le sport préféré des Sri Lankais.
Rares sont les pêcheurs qui s'aventurent en mer.
La plupart se contentent de pêcher, armés d'un simple fil, depuis la plage.
La plupart se contentent de pêcher, armés d'un simple fil, depuis la plage.
De retour à 11h30 je me remets à l’ordi et travaille sur cet article.
Malgré les problèmes de
connexion et coupures de courant, je parviens quand même à finaliser en plus mon
article sur Polonnaruwa, un article très complet (trop diront certains) mais
qui intéressera les amateurs de vieilles pierres dont je fais partie. Le site
est classé au patrimoine mondial et je me devais de ne pas le négliger. Ce sera
la même chose pour Anuradhapura ! Je vous invite donc à y jeter un œil.
Le temps s’est
légèrement amélioré dans le courant de l’après midi
64em jour (Mercredi 8 janvier) :
Visite de Trincomalee (voir article suivant)
64em jour (Mercredi 8 janvier) :
Visite de Trincomalee (voir article suivant)
65èm jour (Jeudi 9 janvier) :
Pour changer je vais
prendre mon petit déj au Pavi, un petit restaurant sans prétention situé au bout du
chemin au niveau de la grand route. Un coin apparemment fréquenté par les
touristes à en juger par les habituels compliments laissés par ces derniers sur
des panneaux exposés aux murs. Il est vrai que les hoppers que j’ai pris
étaient vraiment bons. Le hopper est une galette de riz qui s'accompagne de dhal (lentilles) et de sambar (préparation à base de noix de coco)
A droite, le chemin qui part de ma guest et conduit au Pavi.
Le ciel est de nouveau
dégagé et je n’ose croire au retour du beau temps.
Au programme de la
journée : Baignade, bronzette et ….blog sur la terrasse face à la mer.
Le soleil se voilant dans le courant de l'après midi, je continue à bosser sur le blog et parviens à publier l'article sur Jaffna. Un article que j'ai pris beaucoup de plaisir à concevoir car très varié et vraiment intéressant.
Je m’en vais dîner au Pavi. Un kottu au poulet excellent, un plat à base de légumes sautés et de poulet en fines lamelles. Service hyper rapide et prix très doux (300 Rs seulement).
Comme les rares
étrangers à fréquenter cette plage sont presque tous des Russes,
les contacts sont très limités.
les contacts sont très limités.
En face de ma guest house.....
.... et juste à coté
Pas mal, finalement comme décor !!!
66èm jour (Vendredi 10 janvier) :
Programme identique à
celui d’hier.
Bien bossé aujourd’hui
avec la mise en page des photos de trois articles : Mihintale,
Anuradhapura – Mannar et Mannar – Jaffna.
A 15h je m’en vais faire
une balade le long de la plage vers le nord à la recherche de nouveaux
coquillages.
Je n’en trouve aucun
mais j’arrive rapidement à l’endroit où je m’étais rendu le premier jour. Si ce
n’est qu’aujourd’hui je franchis le bras de mer qui sépare les deux rives en
ayant de l’eau jusqu’à la taille. Arrivé de l’autre coté je monte sur une
petite colline et m’aperçoit que je peux continuer ma découverte de la côte. Un
joli temple annonce la présence toute proche d’un village de pêcheurs que je m’en
vais visiter.
La paysage y est vraiment beau et le village possède deux autres
temples plus modestes dont un construit sur une termitière.
Je découvre aussi une plage entièrement recouverte de coraux et de roche volcanique. Plage suivie d’une autre de sable très vaste où des enfants s’apprêtent à faire voler leurs cerf volants.
Il est
16h30 et je décide de revenir à Uppuveli.
Je repasse devant le grand temple où se déroule la puja du soir. J’y assiste puis tente de rejoindre la route en passant par l’intérieur des terres.
Je repasse devant le grand temple où se déroule la puja du soir. J’y assiste puis tente de rejoindre la route en passant par l’intérieur des terres.
Mais la trajet est bien plus long que prévu
et je n’atteins la route qu’à 18h30, la nuit commençant à tomber.
et je n’atteins la route qu’à 18h30, la nuit commençant à tomber.
Je commence à
avoir mal aux pieds et une âme charitable, un chauffeur de tuk tuk conduisant
sa mère me propose une place à bord de son tuk tuk gratuitement. Il me dépose
devant le Pavi où je m’arrête pour
diner. Un fried rice très ordinaire cette fois. En face, l’église est bourrée à
craquer et l’ambiance y est festive, le révérend fêtant son anniversaire.
De retour à la guest
house je fais la connaissance de 4 français avec qui je reste discuter une
bonne partie de la soirée.
J’avais trouvé un joli
poisson mort (pas celui qui est en photo en début d'article !) que je voulais rapporter chez moi mais ces satanés corbeaux s’en
sont emparé ! En fait je l’ai retrouvé à quelques mètres de ma chambre.
Mais je ne sais pas si je vais pouvoir le rapporter, il pue encore très fort.
67èm jour (Samedi 11 janvier) :
Journée farniente. Matinée
passée avec les français. Baignade et bronzette entre 11h et 13h.
Déjeuner au Pavi (fish rice & curry) toujours avec les français. En milieu d’après midi alors qu’ils sont vont faire la balade que j’ai faite hier, je m’attelle au blog et réussi à publier deux nouveaux articles avec les photos (la journée d’hier et l’article sur le début de la visite d’Anuradhapura (Polonnaruwa – Anuradhapura).
Je passe aussi la soirée
avec les français dont l’un fête ses 30 ans.
68èm jour (Dimanche 12 janvier) :
Retour de la grisaille pour
mon dernier jour à Uppuveli. J’en ai profité pour travailler sur le blog. L’article
complet sur Anuradhapura est publié et il ne me reste plus qu’un article sur
Kandy à traiter.
A part ça rien de
particulier, lessive, petite balade, préparation du sac….
Quelques coquillages trouvés à Uppuveli et mon poisson qui pue toujours autant.
Bonjour, Avez vous pu rapporter vos coquillages en France ? (Douane ?)
RépondreSupprimerMerci !