Sri Lanka 2013 - 2014
Ravi de retrouver le plaisir du voyage en prenant le temps. Vous pouvez m'écrire en déposant un commentaire sur ce blog.
Et je vous répondrai de la même façon. Vous cliquez sur les liens "0 commentaires" à la fin de chaque article, ou à la suite de
"Enregistrer un commentaire". N'oubliez pas de signer si vous choisissez le profil "anonyme".
Et uniquement si message perso : ICI
POUR QU'UNE PHOTO S'AFFICHE EN PLEIN ECRAN, IL VOUS SUFFIT DE CLIQUER DESSUS

UPPUVELI

62èm jour (Lundi 6 janvier) :  

Matinée passée à essayer de régler un problème de netteté des images sur mon blog. Donc pas du tout avancé sur le blog comme je l’espérais. Pas grave j’ai tout mon temps. Sur le coup de midi je m’en vais explorer la partie nord de la plage. Le ciel est toujours très couvert et ce n’est pas aujourd’hui que je verrai le soleil.

Au bout d’une demi heure, j’atteins l’extrémité de la plage et constate qu’elle est moins jolie que je l’avais pensé en arrivant. Du moins comparé aux plus belles plages de la côte ouest. Par contre il n’y a quasiment personne. Je ramasse de jolis coquillages dont un en particulier qu’il me sera difficile de ramener intact. De retour à la guest house je reprends le blog et me vois obliger de reprendre tous mes transferts de photos de ces dernier jours.

Le crachin de ce matin se transforme en de très fortes pluies toute l’après midi.



Dîné à la guest comme hier. Correct sans plus.

63èm jour (Mardi 7 janvier) :  

Toujours pas de soleil mais du vent et des prévisions météo peu engageantes. Pas de soleil de prévu avant vendredi. Apparemment d’après le site internet c’est général à l’ensemble du pays (mieux mais quand même nuageux sur la côte ouest).

8h15 : Je profite d’une coupure de courant pour m’en aller faire une balade du côté sud cette fois. C’est la partie habitée par les pêcheurs et leurs maisons se suivent sur plusieurs km jusqu’au bout de la plage. Plage qui devient de plus en plus sale avec des habitations de plus en plus sinistres au fur et à mesure qu’on avance. Il faut dire que le tsunami n’a pas épargné cette côte et les traces y sont encore bien visibles.

Les chiens (en grand nombre) sont agressifs sur cette partie de la plage et je m'arme d'un bâton pour les tenir à distance. Quant aux locaux, ils se contentent de chercher à me taxer des cigarettes car ici (comme à Jaffna), les hommes fument.




















A 10h, arrivé tout au bout de la plage, je rebrousse chemin en relongeant la mer, n’ayant pas emporté d’argent pour prendre le bus. Ce qui me permet de prendre encore quelques photos intéressantes d’autant plus que le soleil tente une percée à travers les nuages.



















Le cricket est le sport préféré des Sri Lankais.






Rares sont les pêcheurs qui s'aventurent en mer.
La plupart se contentent de pêcher, armés d'un simple fil, depuis la plage.

La côte nord vue depuis ma guest house


De retour à 11h30 je me remets à l’ordi et travaille sur cet article.

Malgré les problèmes de connexion et coupures de courant, je parviens quand même à finaliser en plus mon article sur Polonnaruwa, un article très complet (trop diront certains) mais qui intéressera les amateurs de vieilles pierres dont je fais partie. Le site est classé au patrimoine mondial et je me devais de ne pas le négliger. Ce sera la même chose pour Anuradhapura ! Je vous invite donc à y jeter un œil.
Le temps s’est légèrement amélioré dans le courant de l’après midi


64em jour (Mercredi 8 janvier) : 

Visite de Trincomalee (voir article suivant)


65èm jour (Jeudi 9 janvier) :

Pour changer je vais prendre mon petit déj au  Pavi, un petit restaurant sans prétention situé au bout du chemin au niveau de la grand route. Un coin apparemment fréquenté par les touristes à en juger par les habituels compliments laissés par ces derniers sur des panneaux exposés aux murs. Il est vrai que les hoppers que j’ai pris étaient vraiment bons. Le hopper est une galette de riz qui s'accompagne de dhal (lentilles) et de sambar (préparation à base de noix de coco)

A droite, le chemin qui part de ma guest et conduit au Pavi.




Le ciel est de nouveau dégagé et je n’ose croire au retour du beau temps.

Au programme de la journée : Baignade, bronzette et ….blog sur la terrasse face à la mer.
Le soleil se voilant dans le courant de l'après midi, je continue à bosser sur le blog et parviens à publier l'article sur Jaffna. Un article que j'ai pris beaucoup de plaisir à concevoir car très varié et vraiment intéressant.

Je m’en vais dîner au Pavi. Un kottu au poulet excellent, un plat à base de légumes sautés et de poulet en fines lamelles. Service hyper rapide et prix très doux (300 Rs seulement).


Comme les rares étrangers à fréquenter cette plage sont presque tous des Russes,
les contacts sont très limités.


En face de ma guest house.....
.... et juste à coté



Pas mal, finalement comme décor !!!


66èm jour (Vendredi 10 janvier) :  

Programme identique à celui d’hier.
Bien bossé aujourd’hui avec la mise en page des photos de trois articles : Mihintale, Anuradhapura – Mannar et Mannar – Jaffna.
A 15h je m’en vais faire une balade le long de la plage vers le nord à la recherche de nouveaux coquillages.


Je n’en trouve aucun mais j’arrive rapidement à l’endroit où je m’étais rendu le premier jour. Si ce n’est qu’aujourd’hui je franchis le bras de mer qui sépare les deux rives en ayant de l’eau jusqu’à la taille. Arrivé de l’autre coté je monte sur une petite colline et m’aperçoit que je peux continuer ma découverte de la côte. Un joli temple annonce la présence toute proche d’un village de pêcheurs que je m’en vais visiter.















La paysage y est vraiment beau et le village possède deux autres temples plus modestes dont un construit sur une termitière.












Je découvre aussi une plage entièrement recouverte de coraux et de roche volcanique. Plage suivie d’une autre de sable très vaste où des enfants s’apprêtent à faire voler leurs cerf volants.






Il est 16h30 et je décide de revenir à Uppuveli.
Je repasse devant le grand temple où se déroule la puja du soir. J’y assiste puis tente de rejoindre la route en passant par l’intérieur des terres.
















Mais la trajet est bien plus long que prévu
et je n’atteins la route qu’à 18h30, la nuit commençant à tomber.









Je commence à avoir mal aux pieds et une âme charitable, un chauffeur de tuk tuk conduisant sa mère me propose une place à bord de son tuk tuk gratuitement. Il me dépose devant le Pavi où je m’arrête pour diner. Un fried rice très ordinaire cette fois. En face, l’église est bourrée à craquer et l’ambiance y est festive, le révérend fêtant son anniversaire.




De retour à la guest house je fais la connaissance de 4 français avec qui je reste discuter une bonne partie de la soirée.

J’avais trouvé un joli poisson mort (pas celui qui est en photo en début d'article !) que je voulais rapporter chez moi mais ces satanés corbeaux s’en sont emparé ! En fait je l’ai retrouvé à quelques mètres de ma chambre. Mais je ne sais pas si je vais pouvoir le rapporter, il pue encore très fort.

67èm jour (Samedi 11 janvier) : 

Journée farniente. Matinée passée avec les français. Baignade et bronzette entre 11h et 13h.

Déjeuner au Pavi (fish rice & curry) toujours avec les français. En milieu d’après midi alors qu’ils sont vont faire la balade que j’ai faite hier, je m’attelle au blog et réussi à publier deux nouveaux articles avec les photos (la journée d’hier et l’article sur le début de la visite d’Anuradhapura (Polonnaruwa – Anuradhapura).

Je passe aussi la soirée avec les français dont l’un fête ses 30 ans.

68èm jour (Dimanche 12 janvier) :  

Retour de la grisaille pour mon dernier jour à Uppuveli. J’en ai profité pour travailler sur le blog. L’article complet sur Anuradhapura est publié et il ne me reste plus qu’un article sur Kandy à traiter.
A part ça rien de particulier, lessive, petite balade, préparation du sac….

Quelques coquillages trouvés à Uppuveli et mon poisson qui pue toujours autant.





1 commentaire:

  1. Bonjour, Avez vous pu rapporter vos coquillages en France ? (Douane ?)
    Merci !

    RépondreSupprimer

Merci pour votre message. N'oubliez pas de signer si vous choisissez le profil "anonyme" pour que je sache qui m'a écrit.